samedi 11 février 2012

Parle à ma bite, ma tête est vide

Est-ce que ça gratouille ou ça chatouille?

Ainsi donc l'humoriste Christophe Alévêque avait écrit -- c'est tordant -- que l'ex-footeux Zinédine Zidane "est un panneau publicitaire qui a trois neurones". Si vous n'avez pas compris: "Ce mec est une pute"; il est "lisse", "con comme une bite". Zizi lui a intenté un procès.














Au procès, Alévêque a pris la posture du bouffon du roy, seul autorisé à remettre en place les citoyens richissimes, donc puissants. Encore faudrait-il que le bouffon possédât quelque élégance pour mettre les rieurs de son côté. Ces deux gars se valent. 













L'un s'est exprimé un jour par un coup de boule qui lui a valu un carton rouge. Et il n'y a pas de carton assez rouge pour disqualifier l'expression "con comme une bite". Insulter les deux sexes en quatre mots, les deux sources du plus grand plaisir de l'humanité, c'est un exploit!

Ne pas les raser la veille du match!














Quoi qu'on en pense, chacune et chacun d'entre nous est concerné. Nous avons tous transité par ces organes, une fois pour l'un, deux fois par l'autre (à part les césariens). Alors, respectons-les, d'autant plus qu'ils ont les moyens de se venger et de n'en faire qu'à leur tête. Réfléchissez...

André

1 commentaire:

Miroir Gay a dit…

C est toujours un plaisir de découvrir tes articles.

« "Bite" c'est un gros mot, même si c'est une petite. »
de Coluche [+]